Dans le cas de maladies infectieuses spécifiques (rougeole, scarlatine…).
Dans un état fébrile où la température dépasse 37.5°.
Dans le cas de maladies contagieuses de la peau (érysipèle, impétigo…).
Dans le cas d’artériosclérose car le massage risquerait d’augmenter la tension artérielle et d’endommager d’avantage la paroi des vaisseaux.
Dans le cas d’hémophilie car toutes meurtrissures, contusions ou bleus risqueraient d’avoir de graves conséquences.
Dans le cas de maladies nerveuses sévères (hystérie…).
Contre-indications au massage sur des régions localement affectées :
Dans certains cas vasculaires tels que phlébite, thrombose récente ou varices graves, le massage irriterait la paroi des vaisseaux ou la peau du voisinage rendue délicate par manque de nutrition.
Dans le cas de certaines lésions cutanées occasionnant des états inflammatoires ou douloureux (zona, eczéma, psoriasis…).
Dans le voisinage d’une infection de la peau qui aurait tendance à s’étendre (acné, furoncles, blessures infectées…).
Dans la région d’une inflammation aigue, surtout si elle est d’origine infectieuse ou bactérienne (arthrite…).
Dans le cas de tumeurs, si le sujet n’est pas en traitement.
Sur des blessures ou des brûlures très récentes, le tissu cicatriciel étant en état de formation ou très nouvellement formé. Les manœuvres légères dans le voisinage sont seules autorisées.
Contre-indications au massage abdominal profond :
Pendant toute la grossesse.
Pendant les menstruations car le massage risquerait d’augmenter le flot sanguin.
Dans toutes conditions inflammatoires aigues de l’abdomen (appendicite, gastrite, gastroentérite, hépatite, cystite…).
En présence d’une tumeur ou d’une excroissance abdominale (kyste, fibrome…).
Dans les cas graves de maladies cardiaques ou pulmonaires avancées, d’hypertension ou après une hémorragie cérébrale.
Dans le cas d’hernie ombilicale ou inguinale.
Dans tous les autres cas douteux, demander un avis médical.